Si quelqu’un me guérit et me retire mon mal, j’entends aussi qu’il me hisse au niveau de conscience que j’aurais atteint si j’avais moi-même résolu ce que ce mal devait m’apprendre. Sinon, s’il me laisse dans le même état de conscience après m’avoir retiré mon mal, il me vole l’outil de croissance que peut être cette maladie.
Yvan Amar "L’effort et la grâce" éd. Albin Michel, 1999
La « maladie du médecin » est bien différente de la « maladie du malade ».
Danis Bois "la vie entre les mains"
Venez nous suivre sur les réseaux sociaux :