►Un cheval Selle Français de sport vu en consultation d’ostéopathie en juillet en dehors de son lieu de vie habituel
EXAMEN AU REPOS :
Le cheval est en très bon état général, plutôt vif et allant, bien qu’un peu ‘sur l’œil’, et cherchant à explorer son nouvel environnement de façon très (…)
I) Définitions et données bibliographiques
Les mouvements de la tête, continus ou intermittents, plus ou moins violents, rendent parfois, par leur amplitude, un cheval inutilisable lorsque l’exercice l’amplifie. Les mouvements sont verticaux (encenser, head nodding) ou horizontaux (secouer la (…)
Dans ce registre on connaît essentiellement les méningites... affections à meningocoques, entraînant des vaccinations en masse et qui s’exprime par de la fièvre et une rigidité ou bien des convulsions... Et puis : l’arachnoïdite, la pie mérite, la dure mérite, les fistules de LCR...
Mais est (…)
L’équitation modifie la biomécanique de la locomotion équine ce qui peut à long terme générer des désordres musculosquelettiques chez les chevaux montés. Basée sur cette assertion, la présente étude a comporté deux objectifs principaux : premièrement (partie 1) la description de l’impact de (…)
Il s’agit d’illustrer le fait que pour qu’une pathologie parle il faut une convergence de plusieurs facteurs qui ne sont pas forcément du registre du structural.
ILLUSTRATION :
Khédive. Selle français de 7 ans. Etalon. Acheté à un cavalier de CSO professionnel. A noter qu’il est cagneux des (…)
Il est temps, maintenant, de répondre aux questions soulevées dans le dernier numéro de l’Ostéo4pattes au cours des deux articles « Moi, l’autre et nous » et « Apologie du bon sens ». Et effectivement d’interroger la Médecine sur ce qu’il en est de sa philosophie et de son caractère (…)
Pour changer, il faut créer les possibiltées du changement, il faut laisser place au Vide.
Lorsqu’on parle du vide, on peut avoir une approcher taoïste et y voir la somme de toutes les possibilitées non encore exprimées. Le vide serait en quelque sorte l’ensemble des potentialitées.
Pour (…)
La formation en ostéopathie délivrée par l’Ecole nationale Vétérinaire de Nantes concerne les Mammifères. Mais elle permet également d’aborder les oiseaux. C’est ainsi que j’ai mis en pratique cet enseignement sur les oiseaux qui me sont présentés dans le cadre d’une aide bénévole au centre de (…)
Sommaire INTRODUCTION Commémoratifs Diagnostic et choix thérapeuti INTRODUCTION
Les cervicalgies par hernie discale sans paralysie ont une évolution souvent désarmante par l’intensité de la douleur exprimée et la lenteur de la rémission. L’approche ostéopathique de cette (…)
Il s’agit ici de comparer l’anatomie vétérinaire, telle qu’enseignée dans les Ecoles françaises et l’anatomie ostéopathique, entendue par un enseignant d’Anatomie non ostéopathe. Cette comparaison, très basique, voire simpliste, ne se veut en aucun cas polémique.
Nous nous intéresserons (…)
« Dans les tribus indiennes, on dit qu’il ne faut pas laisser le mal se
blottir.
Il faut le faire jaillir du corps, gicler hors de la peau comme les pépins
de baies sauvages.
Il ne faut pas lui donner de prise. Car le malheur est habile.
Il plonge dans les parties vitales de l’organisme,
s’insinue dans les recoins les plus inaccessibles,
se love dans les viscères et jusque dans la bile.
Et il les anémie.
Ensuite, il leur ôte le goût de vivre.
Alors le cœur se ternit, les yeux s’engorgent.
Et comme le dos se courbe, le teint se flétrit.
Non, le chagrin, cela se chasse, comme les pépins de raisin.
Pour l’extirper, il ne sert à rien de se gratter la chair et le sang.
Il lui a dit - et elle le croit car c’est un grand sorcier -, il lui a dit
que l’eau salée est le meilleur des remèdes.
Les Indiens enduisaient leurs malheureux de cataplasmes marins.
C’est parce que, le mal, il fond dans l’eau salée.
C’est parce que l’eau de mer agit sur la peau comme par osmose.
Elle aspire les larmes à la surface.
Pendant des jours et des jours, il faut s’humecter sans cesse.
Alors le malheur se dissout dans les larmes, se délite à petites gouttes
pour sourdre hors du corps par les yeux.