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C - Homéopathie & Autonomie

Faites votre homéopathie vous-même !
lundi 29 février 2016 par Michel Dogna

Les vacances s’achèvent et l’hiver se rapproche avec sa cohorte de problématiques physiques, c’est donc le moment de s’occuper de choses que l’on a pas pris le temps de faire cet été… vacances obligent ! Vous pouvez devenir en partie autonome en fabriquant vous-même de la bonne homéopathie – je veux dire bien meilleure que celle de la pharmacie.

 « L’homéopathie sabotée »

Si je me permets d’écrire cet article, c’est que j’ai fabriqué de l’homéopathie manuelle pendant près de 10 ans dans le cadre des élixirs de minéraux et, par ailleurs, des isothérapies surtout urinaires et placentaires.

Il y a 10 ans je diffusais déjà des articles titrant « L’homéopathie sabotée ». Je dénonçais alors : des souches mères souvent douteuses (erreurs de cueillette).

La loi de la chauffe des souches organiques à 131° (Je rappelle que l’une des méthodes pour effacer les mémoires homéopathiques est de chauffer à 70°).
et l’interdiction de l’auto-isothérapies (trop efficace) sont scandaleux.

 Le sabotage par la chauffe des biothérapiques (exsudats pathologiques) pour de fausses raisons prophylactiques. Exemple : seulement 5 CH = 10 DH = dilution des toxines de 1/10 milliardième (on rêve !).
 Enfin, j’ai toujours contesté le choix français des granules, qui est la formule la moins efficace face aux triturations et surtout aux gouttes largement utilisées chez les allemands – ceci pour les raisons mathématiques que j’explique en détail dans mon livre « Homéopathie courante par vous-même ».

Les attaques continuent tous azimuts :
 Menace récurrente de déremboursement.
 Polémique constante concernant l’absence de fondement médical.
 Disparition de nombreuses souches anciennes...

À tout cela s’est ajoutée depuis mars 2001 une procédure d’enregistrement homéopathique (EH) qui impose aux 1 163 souches remboursables répertoriées en France de passer sous le contrôle de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).

Et enfin arrive le coup de grâce : une directive européenne réduisant de 75 % le nombre de remèdes homéopathiques.

Il est clair que l’homéopathie, pourtant vieille de deux siècles, dérange et fait de l’ombre au puissant lobby pharmaceutique. Aussi, trois médecins Jean-Louis Ode, généraliste à Saint-Raphaël, Jean-Michel Alexis, praticien à Draguignan et Didier Grandgeorge, pédiatre à Fréjus, sont partis en guerre pour défendre l’homéopathie, qu’ils disent à juste titre « menacée de mort ».

La raison précise de toute cette agitation ? Pour faire simple, depuis janvier dernier, chaque souche homéopathique donne lieu à une autorisation, alors qu’avant, la norme était une simple procédure groupée.

Maintenant, en moyenne, les laboratoires pharmaceutiques doivent dépenser environ 40 000 € par souche.

Quand Boiron, qui est en situation de quasi-monopole en France, obtient un enregistrement homéopathique, il choisit de ne vendre que les dilutions rentables – conséquence logique.

Résultat : sur les 5500 souches inscrites à la Pharmacopée européenne, près de 4200 médicaments homéopathiques sont supprimés, ce qui représente 75 % des remèdes.

Depuis son entrée en Bourse, en 1987, c’est la rentabilité avant tout, dans l’optique d’une éventuelle revente ; ceci a entraîné une rupture de ses engagements, où lors du rachat de Dolisos en 2005, Boiron s’était engagé à conserver la totalité des souches - ce qui n’a pas été le cas.

Concernant les homéopathes dûment canonisés, avoir sué sang et eau pendant des années sur le Kent ou le Kollitch pour acquérir leur compétence ne signifie plus rien puisqu’on leur a confisqué la majorité de leurs outils.

Les praticiens sont donc poussés à des pratiques borderline, entre activité de propharmacien et incitation à aller s’approvisionner à l’étranger : Belgique, Allemagne, Suisse, Grande-Bretagne ou encore en Autriche, où la pharmacie Remédia met à disposition les 5 500 souches de la Pharmacopée européenne. Il y a en France une trentaine de pharmacies capables de fournir les remèdes homéopathiques prescrits à défaut de s’approvisionner à l’étranger.

Les critères de l’homéopathie authentique
Rappelons ici quelques principes de base de l’homéopathique authentique :
 1. Parmi les moyens de mémorisation et d’amplification d’un signal vibratoire, il y a le frottement moléculaire (secousses), la rotation (moulins à prière des Tibétains), la génération de Vortex (Schauberger), sans parler des transferts optiques et électromagnétiques modernes.
 2. L’eau est le support matériel idéal en outre utilisé par tous les règnes du vivant qui fabriquent journellement, au sein de leur organisme, de l’homéopathie Korsakov pour éliminer leurs poisons et toxines.
 3. La mémoire de l’eau est devenue un fait incontestable scientifiquement démontrée par les travaux de Benveniste et de Masaru Emoto, et brillamment confirmé par les récents travaux du Professeur Luc Montagnier.
 4. Le signal homéopathique est en fait un signal radio complexe qui comprend comme tous les signaux vibratoires une fréquence et une amplitude.
 5. La gamme de fréquences du signal homéopathique est définie par le nombre de dilutions, chaque nouvelle dilution faisant grimper la gamme fréquentielle d’un octave ou harmonique. Plus la dilution est élevée (donc la fréquence), plus le produit s’adresse à un corps subtil profond.
 6. L’amplitude du signal est proportionnelle à la surface d’émanation du produit. Ce signal homéopathique se comporte comme une odeur ou un parfum, plus on l’étale plus l’odeur est puissante. La surface des granules est minime par rapport à celle présentée par une cuillère dose de trituration ou 20 à 30 gouttes du produit liquide. Il est clair que la formule granules est donc la plus médiocre.
 7. Le signal homéopathique contrairement à la chimie allopathique est rayonnant. Il peut donc être absorbé par simple proximité de contact, par exemple, (un flacon pendu par une cordelette de soie au cou). Il existe des sites physiologiques d’absorption privilégiés : sous la langue, en gouttes, ou dans les narines et dans les conduits auditifs en pulvérisation.
 8. La formule aqueuse présente l’avantage de pouvoir être re-secouée à tout moment, ceci visant à augmenter le rayonnement du produit (ce qui se vérifie facilement à l’analyse Kirlian).
 9. La dilution 9K en manuel est suffisante pour couvrir pratiquement tous les cas de figure en atteignant toutes les couches de corps subtils.
 10. Une caractéristique intéressante du procédé Korsakov est que l’on garde la mémoire de toutes les dilutions précédentes puisque l’on ne change pas de flacon. Ce n’est pas le cas par le procédé Hahnemann. Donc la dilution 9K couvre tous les cas de figure sans risque de se tromper de dilution.

NOTA : Les dilutions Korsakov mécaniques couramment vendues sont très différentes dans leur principe d’élaboration par rapport à la méthode manuelle. Au 19e siècle où vivait Korsakov, on ne disposait pas de l’électricité.

Les dilutions astronomiques de 5 000, 10 000, 50 000 voire 100 000 K, demanderaient des années de travail pour réaliser cela à la main.

Par ailleurs, la très petite quantité de produit haute dilution récoltée après des jours ou des semaines de fonctionnement continu des machines automatiques, porte son prix à des valeurs inabordables dans sa forme liquide. L’imprégnation granulaire est donc un choix obligé si l’on veut rendre le prix de vente plus sympathique… à moins de reprendre le substrat final à la main dans un plus grand flacon, mais je ne suis pas dans le secret des grands labos…

 La fabrication artisanale : voici toute la recette

1 - Le choix de l’eau

Il est évident que l’eau osmosée qui est de l’eau déprogrammée et très pure est ce qu’il y a de mieux. Encore faut-il avoir un osmoseur. L’eau distillée est ce qu’on utilise classiquement mais qui à l’échelle artisanale présente un coût prohibitif dans la mesure où la plus grosse partie va être jetée. Normalement cette eau s’achète en pharmacie. Mais on peut aussi faire du travail correct avec une eau de source la moins minéralisée possible, type Mont Roucous.

2 - Le choix et la préparation des flacons.

Les bouteilles de 500 ml ou même 250 ml vendues en pharmacie sont parfaites.
S’ils ont déjà servi, il faut rendre ces flacons vibratoirement vierges. Les laver ne sert pas à grand-chose si ce n’est à réaliser une dilution supplémentaire. Pour effacer la vibration résiduelle, on peut :
 Amener le flacon dans de l’eau à la température minimum de 70°,
 Passer le flacon au four à micro-onde (j’espère que vous n’en avez pas),
 Rincer le flacon avec un peu d’alcool à 90° pur (méthode rapide).

3 - Les souches-mères

Les souches peuvent être de nature extrêmement diverses (minérales, végétales, chimiques, organiques animales ou humaines, ou encore industrielles toxiques). Il est nécessaire qu’elles soient conditionnées sous une forme liquide hydro-alcoolique.

Lorsqu’il s’agit de produits solides, il est donc utile de les faire tremper dans de l’eau pure (distillée ou osmosée), ou de l’alcool à 70° selon la nature du produit, même s’il ne présente pas de solubilité. Il y a alors enregistrement de l’information, c’est-à-dire la signature vibratoire de la souche. Le temps de trempage peut varier de quelques heures à 48 heures selon les cas. Vous obtenez là ce que l’on nomme la base ou solution mère. Nous voilà donc prêt pour entamer la procédure homéopathique Korsakov proprement dite.

4 - Des auto-isothérapies à la carte

Notez que vous pourrez résoudre facilement des tas de pathologies difficiles résistant à la médication classique pour un prix dérisoire, en prélevant simplement des exsudats qui peuvent être : crachats pulmonaires, salive, morve, larmes, urine, pus, desquamations cutanées, sueur, ménorrhées, placenta de l’accouchement… mais pas de sang.
 [1]

5 - Quelques détails importants

Rappelons d’abord que pour faire de la véritable homéopathie, il faut 3 choses :

DILUTION – SECOUSSES – CONSCIENCE

Remarquez qu’une machine ne peut pas satisfaire à la troisième proposition. Ce volet n’est pas plus surprenant dans le cas de la fabrication des remèdes homéopathiques que dans le domaine de la cuisine, qui doit être faite, dit-on « avec amour ». D’ailleurs on trouve dans les écrits de Nostradamus : « Ne consommez point la nourriture d’un cuisinier en colère ».

Dernier détail : où se mettre pour effectuer la procédure ?

Mon expérience personnelle m’a montré que la meilleure qualité est obtenue et que les flux d’énergie sont mieux ressentis quand on se place dehors dans la nature, une pelouse pouvant suffire, et vous allez voir pourquoi ensuite.

6 - Mode opératoire

Amenez le matériel nécessaire (flacons, eau pure) sur le lieu choisi :
 1. Marquer au feutre sur votre bouteille, un trait au 1/3 environ de la hauteur.
 2. Introduire une petite quantité de base juste suffisante pour mouiller tout l’intérieur du flacon. Secouez 4 ou 5 fois et jetez l’excédent sur le sol (dans l’herbe) sans égoutter.
 3. Remplir jusqu’au trait 1/3 le flacon avec de l’eau pure. Notez « dilution 1 ». Bouchez et secouez alors une centaine de fois.
 4. Les sensitifs peuvent sentir à un moment donné une énergie monter entre leurs mains. Les secousses doivent être verticales et sans violence, à un rythme juste que vous trouverez en le faisant varier plus vite, moins vite, jusqu’à ce que vous ressentiez un réel plaisir, dans votre corps : pensez pendant ce temps que vous effectuez un mariage entre les forces du ciel et de la terre dans votre flacon. Si vous n’arrivez pas à ressentir tout cela, tant pis, vous obtiendrez quand même de l’homéopathie mais elle sera « standard ».
 5. Videz le flacon sur le sol et dites : « je te rends à la terre afin que tu renaisses plus grand » (formule alchimique) . C’est un principe d’affinage universel utilisé quotidiennement par la nature. Si vous jetez simplement l’eau sans rien dire ou penser, vous obtiendrez quand même de l’homéopathie, mais ... « standard ».
 6. Remplir à nouveau au trait votre flacon avec de l’eau pure. Notez « dilution 2 » et recommencez l’opération comme dans le paragraphe 3.
 7. Videz le flacon en procédant comme dans le paragraphe 5.
 8. Remplir au trait et notez « dilution 3 », continuez ainsi de suite jusqu’à dilution 8.
 9. Attention : à la dilution 9 remplissez le flacon entre les 2/3 ou 3/4.
 10. Secouez et ne jetez plus. Vous avez le produit définitif.
 11. Fixez le produit homéopathique avec 10 % d’un alcool fin (ex : cognac) afin d’éviter l’invasion d’algues ou micro-organismes divers. Néanmoins, si le produit ne doit pas être gardé longtemps, il est possible de le laisser tel quel, en particulier pour des bébés ou des personnes allergiques à l’alcool.
 12. Enfin, il est prudent et sage d’envelopper le flacon intégralement dans du papier aluminium de cuisine et avec du papier blanc par dessus pour le protéger de toutes les pollutions vibratoires ambiantes (télé, radio, antennes GSM, radars….). On sera aussi attentif à ne pas stocker les flacons obtenus, à proximité de produits chimiques peu nobles (ménagers ou pharmaceutiques).
 13. Voilà, vous savez tout, et vous n’avez plus besoin de personne pour réaliser de la bonne homéopathique courante, même en urgence.

Il est évident que l’obtention de certaines souches reste problématique et que ces souches coûteuses sont jalousement stockées par les laboratoires. Mais, il vous reste beaucoup de possibilités directes aussi simples qu’efficaces.

La méthode s’applique parfaitement pour les animaux (chiens, chats, chevaux, et tous animaux de la ferme) – Les animaux sont généralement plus faciles à soigner que les humains parce qu’ils ne sont pas embrouillés par un mental toxique.

Si des personnes vous observent en train d’opérer dehors, n’ayez crainte elles croiront que vous êtes en train de laver des bouteilles !

À vous de jouer.


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