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Force de traction médullaire ( partie 1) (rés)

Anatomie & physiopathologie
 
Créé le : mardi 8 juillet 2008 par Patrick Chêne

Dernière modificaton le : lundi 20 novembre 2017

Cet article est largement tiré des expériences de Royo Salvador, neurochirurgien, et des réflexions de Antonio Ruiz de Azúa Mercadal, ostéopathe humain, le tout reformulé et adapté aux chevaux d’après ma propre expérience.
Un article similaire à propos des pathologies canines a été présenté au 2ième congrès des Vétérinaires acupuncteurs méditerranéens (Nice 2007), une communication défrichant ce sujet a été présentée aussi aux 1ières rencontres d’ostéopathie comparée (Ariège, 2006).

A propos des tissus internes à la colonne, un vétérinaire trouvera des méningites, de myélites, un syndrome de la queue de cheval etc....
C’est un plan important de compréhension….

Alors qu’un ostéopathe, à la suite de Still et de Sutherland, trouvera, avant ces symptômes majeurs, des défauts dans la transmission de ce que l’on nomme le MRP, par blocage d’un os important (sacrum), wiplash ou adhérence suite à un traumatisme. Ce concept, contesté, n’en offre pas moins un cadre de compréhension intéressant pour certaines sensations manuelles.
C’est un autre plan de compréhension plus méconnu et néanmoins ouvrant la porte à un traitement aisé de certaines pathologies (dépression post partum, torticolis traumatique, wiplash intestinal, etc...). Ces pathologies bien connues des ostéopathes, donnent la part belle à la dure-mère qui serait la courroie de transmission des forces développées par les cellules nerveuses à la base, théorie de la pulsation cellulaire rythmique (Sutherland, Kenneth).

Mais Antonio Ruiz de Azúa Mercadal à la suite de Garceau puis d’un chirurgien espagnol, le Dr. Miguel B. Royo Salvador, nous parle de force de traction médullaire (FTM) et d’après lui c’est la moelle elle-même malgré sa fragilité qui serait la courroie de transmission de ces forces et qui exerce parfois une traction/tension telle qu’elle pourrait être responsable de malformations (scoliose, platibasia, etc....) et ce nouveau niveau de compréhension semble apporter encore des éléments «élégants» et efficaces pour traiter des pathologies jusque là difficilement accessibles dans leur compréhension (scoliose, hydrocéphalie, syringomyélie, etc...).

Pour comprendre ce nouveau paradigme et éventuellement l’opposer à l’ancien, il convient de faire un petit retour anatomique sur la moelle et les méninges.

A. Rappel anatomique des méninges & de la moelle épinière

1. La moelle épinière

Dessin de Claire Douart

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