Recherchez dans le Site : |
L’idée de cet écrit et exposé découle d’une série de rencontres avec les ânes, toujours constructives, quoique empreintes d’une émotion certaine, jusqu’à ce que la complicité s’installe. Il souhaite témoigner de la vie de l’âne en tant que compagnon et véritable ami de l’Homme.
Sollicité pour rédiger une série d’articles sur les chevaux et plus particulièrement sur la locomotion équine, nous allons aborder les raisons pour lesquelles le cheval est si souvent malmené dans la relation que nous entretenons avec lui. Dans un premier temps, il est important de situer le contexte.
Nous connaissons tous, dans notre pratique vétérinaire courante des « syndromes » ou maladies, connus depuis longtemps et regroupant un ensemble de symptômes variés, bien référencés.
La parésie spastique des jarrets des veaux est aussi un de ces syndromes. Comme son nom l’indique, il s’agit donc d’une parésie avec spasmes des postérieurs intervenant sur les veaux.
Voici Calypso, hongre selle français de 16 ans, qui préoccupe son propriétaire principalement en raison de difficultés marquées dans les virages au niveau de ses antérieurs. Il s’atteint devant. D’autres critères de gêne sont également mentionnés : le cheval se retient dans son galop, avale les sauts et dérobe de plus en plus fréquemment.
Pour faire suite à un précédent article traitant de la dysfonction traumatique du sacrum, Catherine BRASSAUD présente ici des cas de dysfonction traumatique des dernières vertèbres lombaires avec une importante similitude en termes de signes cliniques.
Les dysfonctions traumatiques du sacrum sont souvent très invalidantes. Il n’est pas rare d’observer un certain degré de paralysie des membres postérieurs, avec des difficultés voire une incapacité pour l’animal à se relever et à se déplacer.
Venez nous suivre sur les réseaux sociaux :