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C115 - Premières Mesures d’Hélices Chez les Chiens*

Créé le : vendredi 29 mars 2013 par Patrick Chêne

Dernière modificaton le : samedi 29 décembre 2018

 Conclusions

A la suite de ces quelques mesures dont chaque point doit être conforté par d’autres mesures en particulier issues de l’expérience d’autres opérateurs il semble que l’on puisse constater :

 La variation de cette mesure est forte, très rapide, significative ; La variation est de l’ordre de quelques centimètres sur une échelle de la minute voire de secondes. Ce qui est très étonnant mais constaté à chaque fois.
 La longueur de l’hélice serait le reflet de l’état Tenségritif des cellules et donc du corps : plus de fluidité cellulaire, meilleur fonctionnement, meilleure souplesse comme semble le montrer les courbes de suivi.
 Par la disparité hélice gauche, hélice droite dans leur comportement, la notion de dissymétrie biomécanique et de torsion physiologique ou d’hélice fasciale trouve là une justification.
 Les comportements différents des mesures en cas de Force de traction médullaire perturbée confortent son rôle comme principe organisateur de la mécanique corporelle.
 C’est un moyen très simple de montrer l’effet sur le corps d’un acte ou d’un produit quel qu’il soit.

Quel en est l’intérêt ?

Il est bien évident que chercher à prouver l’ostéopathie uniquement avec une mesure est un non sens digne de la quadrature du cercle. L’ostéopathie est bien plus riche qu’un simple résultat fut-il en centimètre et digne d’intérêt.

Aussi, l’intérêt me semble avant tout didactique, pratiquer cette mesure, permet de se rendre compte avec quelle vitesse et amplitude le corps se réarrange suite à une intervention. La tenségrité prend là tout son sens.
 Il permet de se montrer ou de montrer au propriétaire un effet quantifiable.
 Il permet d’observer la dynamique à court terme et à long terme et de se rendre compte de l’avancée du cas, d’éventuelles rechutes. Nous avons beaucoup à apprendre de cette dynamique (rythmes circadiens, dynamiques de traitement).
 avec un principe général si simple et si neutre (plasticité cellullaire), il parait intéressant de l’utiliser pour, l’ostéopathie certes, mais aussi pour l’homéopathie, l’acupuncture, les fleurs de Bach, etc .... les antibiotiques aussi !!!

Aussi, on ne peut qu’encourager l’extension de son étude chez le chien. On pourra sans doute l’étendre à d’autres espèces, mais autant le principe de la mesure est facile à mettre en œuvre sur le chien qui se montre patient, sur lequel le ruban s’installe de lui même de par sa conformation et pour lequel la force de l’opérateur compense juste l’élasticité cellulaire. Autant il parait plus délicat sur des espèces moins dociles ou plus grosses et délicat chez l’homme aussi pour qui les multiples courbures compliquent la tâche.

 FTM etc ... A montréal.
 MRP, FTM et Torsion Physiologique (Rés)
 C59 - Une mesure de l’effet ostéopathie ???*
 Tenségrité, Tenségrité
 FTM
 Torsion Physiologique

 http://www.osteovet.info/mesure_hel...

Voir en ligne : tenségrité : Ingber


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